Cas n°14 – Faut-il porter plainte ?

Ca fait un moment que je n’ai pas posté de nouveaux cas cliniques ici… Ce n’est pas que je n’en ai pas écrit, c’est juste qu’ils étaient « réservés » pour les étudiants de la conférence Hippofac de Lille (histoire que je ne mette pas les cas que je leur fais à disposition de tout le monde, vous comprendrez qu’ils pourraient mal le prendre, à juste titre…)

Comme je ne sais pas encore si je serai à nouveau conférencier de tour de printemps cette année ou pas (et le cas échéant, si je vais réutiliser mes cas de l’an dernier ou pas…), je garde de côté les cas cliniques 9 à 13. Ils seront un jour disponibles ici, mais peut-être pour les ECN 2014 (à voir). Pour la conférence de tutorat que je vais donner dans 1-2 mois, elle ne sera pas mise en ligne non plus avant l’an prochain, pour les mêmes raisons… MAIS je ne vous oublie pas, vous aurez de nouveaux cas et topos très bientôt 😀 (je vous invite d’ailleurs à lire mon travail sur les suites de couche, car ça pourrait donner lieu à un cas assez transversal sur le post-partum immédiat !)

En tout cas, il y a un cas que je peux déjà vous proposer, c’est celui que j’ai écrit pour l’épreuve blanche de février 2013 sur la consigne « gynéco / psychiatrie », et qui m’avait donné l’opportunité d’être transitoirement haï par 155 étudiants \o/ C’est un cas que je crois d’assez bonne qualité, puisqu’il a été relu par 4-5 responsables de conférence (au taquet sur ce qui est cotable ou pas), ainsi qu’un médecin légiste conférencier depuis une dizaine d’années…

Enjoy, et n’hésitez pas à commenter, même pour dire que vous avez adoré / apprécié / aimé / pas aimé / détesté / abhorré.

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